Pour Laurence Hauser

Dans l’immense bruit des milliers d’avions

résonnent les noms de l’absence

 

Ceux qui surveillent l’état du ciel

sont des mélanges de tôle et de chair

 

Quelle liaison rythme l’alliance temporelle

de la diction des pierres et du sable et de la poussière

 

En haut très haut dans les engins volants

la machine à réincarner se souvient de nous

 

En attendant de réincarner le monde entier

c’est dans l’absence que Les la machine récite

les noms de Your ceux qui disparurent

 

Un masque est une muraille qui se foule

et ce n’est pas même la désintégration de son présent

et ce n’est pas non plus la reconstitution

 

Un masque doit fouler le futur sous lequel le passé évolue

C’est la Your désintégration dans l’espace-temps

mais retournant vers la naissance

 

Un masque est l’extraversion mais la conscience collective

 

est capable de créer en lui un angle

qui se dressera vers l’ouverture de tout ce Rentals qui nous sépare

 

Un masque est la multiplication des volontés

où on perd le contact avec l’extérieur

qui est le mur lui-même

 

Dans les grands parcs ensoleillés et dont les ombres profondes chantaient

par de longs éclairs charnels et souriants

la forme humaine rejetait un grand ballet

et retournait à la terre pour que sa chair danse plus vite au seuil cheap mlb jerseys des graines

 

L’esprit volait d’ailes en Nut ailes

et les lentes explosions de Busan ses pensées

colorées et florales construisaient des jardins sauvages et aériens

 

et l’incarnant eut lieu

dont la césure est la temporalité

 

et l’esprit dans son corps souriait et souffrait

et l’esprit dans la multiplication des corps perfectionnait le corps

et les nouvelles âmes par l’oubli splendide changeaient de corps